Comme la vie bienfaisante m'a permit d'écouter J'ai su par tant de sons ravir toutes mes humeurs Comment sur une seule note être un jour satisfait Leur pluriel seul m'enivre et fait battre mon cœur Comme la vie généreuse m'a permit de tout voir Et cette terre c'est vrai comporte tant de beauté Pourquoi n'ouvrir les yeux que lorsqu'il fait trop noir Avec toutes les couleurs qu'offrent toutes mes journées Comme la vie charitable me donne tant à sentir Tous les parfums ne m'ont pas fait choisir de fleur Il y a tant d'odeur au printemps qui m'attirent Que comme un papillon je cède à leur bonheur Comme la vie magnanime me permet de goûter Chaleur, fraîcheur, salé, sucré à l'infini Pourquoi renoncer au moindre de mes appétits Toutes ces saveurs ont su en ma bouche danser Et la vie me donne même la chance de toucher Il y a tant de corps qui appellent mes mains Et ce flot de désirs venant dès le matin Pourquoi donc dans mes poches aurais-je dû les laisser Mais la vie n'a pas su comment me faire aimer Et mon cœur en ton cœur s'est enfin éveillé Aux pluriels je m'oppose par l'amour singulier Que toi seule a fait naître sans rien en demander |
Quels
regards poser au
hasard de la vie ?
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