LA LUMIÈRE DES YEUX

Tu me dis qu'en mes yeux
Tu perçois la lumière
Elle n'est due qu'à ton feu
Qui me chauffe et m'éclaire
 
Sans ton cœur mon cœur
Ne serait qu'une pierre
Sans l'amour chaque heure
Ne serait qu'une frontière
 
Entre deux mondes noirs
Où plus rien ne persiste
Car sans le moindre espoir
Même la vie ne subsiste
 
Tu me dis que mes yeux
Sont les deux seules lumières
Qui rendent les gens heureux
Qui font tout voir plus clair
 
Sans ton cœur mon cœur
Ne serait qu'une pierre
Et tout contre ton cœur
Je ne suis plus en guerre

Et je me sens plus fort

Comme la vie résiste

Je ne me sens plus mort

Puisque l'amour insiste

 

Tu me dis que mes yeux

Font naître les lumières

Et des mondes ténébreux

Repoussent les frontières

 

Sans ton cœur mon cœur

Ne serait qu'une pierre

Sous l'effet du bonheur

Tout est alors plus clair

 

Et sans aucun rempart

Tout doucement existe

Dans l'éternel départ

Sur une nouvelle piste

 

 Plonge dans une autre histoire d'amour :

   Arrière

Découvre aussi :

Réflexions devant la télévision

Perceptions

 

Quelques poésies

le recueil

accueil

Yves Macé

Tu désire un exemplaire de Poésyves, écris-moi :